« L’homme debout comprend que l’état du monde est notre perception de l’énergie « monde ». Les temps actuels nous apprennent à devenir responsables de nos créations. Pollution et guerre nous rappellent systématiquement qu’il devient dangereux de nier les liens entre ce que l’on vibre et ce que l’on vit. Les relations de cause à effet crèvent les yeux, c’est pourquoi l’humanité est aveugle. Nous récoltons la tempête de panique engendrée par le vent d’arrogance de chacun. Tout le monde se croit du bon côté du manche. Personne pour revendiquer le rôle de l’enfoiré. Cette planète est habitée par des saints. C’est à se demander qui tient les fusils et qui consomme les eaux de Gaia.
L’homme debout sait que l’amour et la haine, tels que nous pouvons les vivre en ce monde relatif sont les deux faces d’une même pièce. Lire la suite